Archives par mot-clé : symbolisme

Structure de la connaissance

Avez-vous remarqué que dans le monde tout ce qui compte va par quatre ?

La musique : timbre, harmonie, rythme et mélodie. Le repérage : altitude, latitude, longitude et datation. Les quatre aspects de la cause : pour quoi, avec quoi, par quoi et selon quoi ? Les forces de la nature : interactions faible, forte, électromagnétique et gravitationnelle… Les vingt-quatre particules élémentaires qui constituent la matière : une famille de six leptons associée à trois familles de quarks. Et aussi la logique d’un discours nuancé : oui, non, oui et non, ni oui ni non. Pourquoi quatre est-il partout ?

La notion de quaternité apporte une réponse à la fois simple et surprenante à cette question. A partir d’exemples tirés de l’expérience humaine, les auteurs en dégagent les aspects structurels et s’en servent pour approfondir le sens des mathématiques et de divers autres domaines liés à la genèse de la connaissance.
Il s’agit d’une nouvelle épistémologie, fondée sur un modèle logique qui complète celui d’Aristote.

La voie du désir

Selon le mythe d’Eros et Psyché du conte d’Apulée dans les Métamorphoses ou l’Ane d’or.

La voie du désir selon le mythe d’Eros et Psyché est le cinquième ouvrage de Jean-François FROGER.
L’ouvrage aborde un ancien mythe grec qui traite, à travers le style d’un conte, du problème du désir (Cupidon-Eros) et de l’âme (Psyché). Le conte nous est parvenu par la tradition romanesque d’Apulée, auteur latin du Iie siècle. Pour étudier avec précision les images du mythe, véhiculées par le conte, il fallait disposer d’une traduction nouvelle, dont le souci ne fût pas d’abord littéraire mais sémiotique ; c’est pourquoi on s’appuie ici sur la traduction de Bernard VERTEN qui y a apporté toute l’érudition et la précision nécessaires.

L’ouvrage traite de l’éveil de la vie psychique profonde à l’amour de l’Amour, au désir du Désir.
L’interprétation de toutes ces figures est une introduction au travail intérieur qui conduit de la beauté à l’amour.
La voie du désir est aussi la voie de la métamorphose de la beauté visible en la réalité qu’elle symbolise.

Une nouvelle apologie du Christianisme

Nouvelle parution aux éditions Grégoriennes, cet ouvrage est disponible au prix de 29,50 euros.

La vie vient de Dieu et il se peut qu’elle s’accomplisse en Vie éternelle en participant à la Vie qu’est Dieu : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. »

Une telle promesse est-elle crédible ?

Une apologie de la Révélation chrétienne consiste précisément à en montrer la crédibilité.

Les idées sur Dieu, son existence ou son essence, sa volonté ou son dessein, toutes ces idées ne peuvent être vraies si elles ne sont rectifiées par la Révélation.

« Jésus leur dit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n’est rien. C’est mon Père qui me glorifie, lui dont vous dites : “Il est notre Dieu.” Vous ne le connaissez pas, mais moi je le connais. Si je disais que je ne le connais pas, je serais un menteur comme vous. Mais je le connais et je garde sa parole. »

Toute apologie prétendant s’appuyer sur une raison indépendante de la Révélation est donc un mensonge.

En cet ouvrage, nous avons montré, par un effort de logique, que la connaissance humaine est descriptible par une structure relationnelle quaternaire et que celle-ci comporte nécessairement une « catégorie inconnaissable », sauf précisément à recevoir une révélation de son contenu.

Inversement, prétendre que la Révélation devrait être crue sans aucun effort pour en montrer la crédibilité serait une pure sottise.

Symbolique de l’image et anthropologie

Suivi d’une étude sur le mythe d’Œdipe

Ce livre résulte de la rencontre entre un médecin, psychiatre des hôpitaux et un exégète des textes bibliques- anthropologiques.
Le médecin organisant la psychothérapie par l’écoute de musique filtrée, des entretiens et des dessins libres s’aperçoit que la suite des dessins rend compte de l’évolution de la psychothérapie.
L’exégète, habitué à l’herméneutique des images mythiques, découvre alors que ces dessins « parlent » inconsciemment de nombreuses langues et qu’ils sont susceptibles d’être interprétés.