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D’Or et de Miel

Le sens de la vie est la question primordiale pour chacun de nous, qu’il commence son itinéraire ou qu’il l’achève.
Ce livre répond à « l’éternelle question » par l’exploration des fondements conceptuels de l’anthropologie.
Les auteurs se réfèrent pour cela aux mythes, particulièrement ceux de la Bible, comme modèles explicateurs dans l’ordre du manifesté ou de l’incarné de ce qui est implicite dans l’invisible.
Ils proposent un modèle anthropologique qui oblige à remettre sur le métier, les questions de la sexualité humaine et de la parole.

La différence sexuelle de même que la différence entre la parole humaine et le Verbe divin ne sont pas constitutives de l’homme ni de la femme dans leurs rapports à l’univers, elles ne sont qu’induites par la limite fondamentale du profane et du sacré qui marque la différence entre la réalité invisible et la réalité visible.
Ce livre ouvre un champ nouveau d’exploration de la vie psychique en s’appuyant sur une méthode expérimentale qui démontre l’existence d’une langue symbolique contenant sa propre épistémologie.

Une nouvelle apologie du Christianisme

Nouvelle parution aux éditions Grégoriennes, cet ouvrage est disponible au prix de 29,50 euros.

La vie vient de Dieu et il se peut qu’elle s’accomplisse en Vie éternelle en participant à la Vie qu’est Dieu : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. »

Une telle promesse est-elle crédible ?

Une apologie de la Révélation chrétienne consiste précisément à en montrer la crédibilité.

Les idées sur Dieu, son existence ou son essence, sa volonté ou son dessein, toutes ces idées ne peuvent être vraies si elles ne sont rectifiées par la Révélation.

« Jésus leur dit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n’est rien. C’est mon Père qui me glorifie, lui dont vous dites : “Il est notre Dieu.” Vous ne le connaissez pas, mais moi je le connais. Si je disais que je ne le connais pas, je serais un menteur comme vous. Mais je le connais et je garde sa parole. »

Toute apologie prétendant s’appuyer sur une raison indépendante de la Révélation est donc un mensonge.

En cet ouvrage, nous avons montré, par un effort de logique, que la connaissance humaine est descriptible par une structure relationnelle quaternaire et que celle-ci comporte nécessairement une « catégorie inconnaissable », sauf précisément à recevoir une révélation de son contenu.

Inversement, prétendre que la Révélation devrait être crue sans aucun effort pour en montrer la crédibilité serait une pure sottise.