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Préface : Six chemins pour connaître sagesse et intelligence

Préface du Père Francisco José López Sáez

Le livre que vous avez entre les mains est le fruit d’une intense recherche, menée avec la rigueur de l’intelligence et la passion du cœur. Ces six chemins, poursuivis tout au long d’une retraite de prière, nous attirent sur la route des Béatitudes de l’Évangile, en invitant le lecteur bienveillant à une aventure de l’esprit dont, c’est sûr, il ne reviendra pas comme il a commencé. C’est que, en écoutant avec le cœur intelligent ces paroles toujours neuves de notre Seigneur, la sagesse vient à notre rencontre en jaillissant de la Source de toute béatitude, la Bonté divine.
En effet, dans les langues sémitiques de la Révélation, dans lesquelles Jean-François Froger sait pousser avec tant de maîtrise l’eau vive d’une anthropologie biblique, l’expression qui ouvre chacune des neuf béatitudes de Jésus (tubayhon, dans l’araméen parlé par Lui) fait écho à la proclamation qui rythme avec exultation la scansion des six jours de la création : le « c’était bon » (l’hébreu tob, de même racine), « c’était très bon » (Gn 1, 31), avec lequel le Créateur bénit ses œuvres, son œuvre qui est l’Homme. La Divinité nous montre dans la Genèse que notre vie de créatures appelées à devenir des interlocutrices personnelles de sa Parole doit être couronnée avec la même Bonté-Beauté de tout ce qui relève de l’œuvre de l’amour divin : cette Bonté qui n’existe dans les choses créées que parce qu’elle réside originairement dans le regard même de l’amour du Dieu-Trinité. La même voix divine qui proclame « au commencement » la bonté radicale au fondement de la liberté de la créature proclame « sur la montagne » de Galilée, par la bouche du Verbe Incarné, la « béatitude » de la communauté qui a reconnu, en pleine conscience, Jésus comme le Messie.
Justement la reconnaissance de Jésus comme le Messie est l’enjeu de cette merveilleuse composition des neuf béatitudes. L’auteur du livre a su montrer l’art splendide de la parole de Jésus, qui tisse dans son enseignement, avec un style inimitable, les échos de toute la Révélation (« Moïse, Prophètes et Écrits », Lc 24, 44), pour éveiller la foi des disciples en Lui : tubayhon, « c’est une Bonté » d’être pauvre en esprit, endeuillé, humble, affamé et assoiffé de la justice-rectitude, miséricordieux, pur dans le cœur, quelqu’un qui fait la paix, persécuté à cause de la sainteté, et finalement calomnié et mis à part, parce que ces conditions sont le trésor même des vertus de l’Homme accompli, le Messie. C’est Lui, Jésus lui-même, qui vit dans son humanité, dans sa prière, sa vie et sa mort, les béatitudes qu’il proclame pour nous : elles parlent de son propre mystère et font de tout disciple qui les écoute et ne projette guère ses pré-concepts acquis un participant du Royaume des cieux, un fils de Dieu, voyant Dieu, un croyant finalement capable de pratiquer la Loi de Dieu, parce qu’il l’a comprise de l’intérieur grâce à la révélation de Jésus, en rejouant les béatitudes dans sa propre vie, parce que, nous dit l’auteur, « pour reconnaître le Messie Fils de Dieu, il faut être à son image ».
Les béatitudes sont, donc, grâce à la foi qu’elles communiquent à qui sait discerner par son écoute la multitude d’appels bibliques qui tissent son message, la source de cette Sagesse qui devra un jour ouvrir les yeux des disciples au sens profond de la création et de l’Écriture, et de leur propre existence dans le miroir des choses créées et des paroles divines. Ça sera l’œuvre du Ressuscité sur le chemin d’Emmaüs, qui couronne l’annonce de ses « béatitudes » avec la réalité de sa propre Résurrection : celle-ci accomplit le « très bon ! » du fiat créateur initial, ouvrant le cœur des disciples pour qu’ils puissent reconnaître, dans son Humanité de Grand-Prêtre, le lieu de la présence divine, et dans les béatitudes qui résument son identité messianique la porte de l’irruption du monde à venir, de la vie bienheureuse. C’est bien le Christ Vivant qui change la pesanteur du cœur des disciples en réceptacle de la Sagesse d’en-Haut. Il induit en eux, donc, une Sagesse qu’on pourrait bien définir, à juste titre, comme une Sagesse de résurrection, une intelligence qui regarde le monde et la vie de l’intérieur de la Bonté-Béatitude de la vie ressuscitée, un intellectus resurrectionis. Les grands mystiques de la tradition syro-orientale, qui lisaient le Nouveau Testament en araméen de la Peshytta, nous rendent témoignage de cette Sagesse « résurrectionnelle » des Béatitudes. Comme nous dit, par exemple, Joseph Hazzaya, auteur spirituel du VIIIe siècle : « La résurrection du Christ, c’est un intellect qui s’est relevé de sa chute, un cœur dont les yeux ont été ouverts, et à qui a été donné de participer à la contemplation des réalités corporelles et de celles qui sont au-dessus du corps, du jugement et de la providence divine. » (Centurie di conoscenza, III, 51, Patrologia Orientalis, t. 58, Turnhout/Belgique 2023, p. 144) À cette intelligence profonde est dédiée le sixième chemin de la retraite, où l’auteur déploie, après l’étude des jeux de sens des tresses à multiples directions dans lesquelles nous sommes invités à méditer les béatitudes, une logique ternaire qui correspond à une Sagesse et Intelligence vraiment inspirées, celles du Verbe créateur lui-même. Cette logique ternaire, en plus de la logique quaternaire, sont une découverte de Jean-François Froger qui est appelée à éclairer d’une nouvelle lumière la pensée profonde de la révélation avec une sagesse où est tissée la résurrection. Le fruit de l’étude patiente et de la réception de cette logique de la révélation sera la joie, l’éveil d’une profonde compréhension, la foi vécue !
Je me permets une dernière remarque : c’est le constat, dans mon propre travail de théologien, de la richesse de ce livre-retraite pour le renouveau théologique de l’ecclésiologie dans l’actualité. Les disciples qui reçoivent sur la montagne l’enseignement des béatitudes forment le « noyau » de l’Église. Ça veut dire que l’Église est elle-même née des béatitudes, de la même Bonté-Beauté de résurrection d’où jaillissent les paroles de Jésus. Habitués comme nous sommes à regarder seulement l’extériorité de l’Église, dans son image endommagée par les conflits et même souillée par les scandales dans le moment présent, on sent dire parfois, quand on essaie d’expliquer les origines du christianisme comme un fait vraiment spirituel et profondément significatif au milieu des épreuves de l’histoire, cette expression pleine d’amertume : « C’est trop beau pour être vrai. » On suppose donc que la vérité doit être laide, parce que, selon la mentalité commune, même académique, « tout provient du chaos », et tout ordre et beauté ne sont qu’une imposition de la volonté humaine pour vaincre le chaos initial, sans jamais pouvoir en sortir. La « beauté » avec laquelle on aimerait définir l’Église ne serait rien d’autre qu’une décoration superficielle qui cache la grande et authentique vérité, une patine de peinture de mauvaise qualité qui recouvrirait l’unique réalité dont est formée l’histoire commune de l’humanité « réelle » et empirique : la guerre de tous contre tous, comme on le voit de nos jours. L’Église elle-même serait née du chaos de l’histoire, comme un pacte entre partis ennemis sortis de la contraposition d’idéologies irréconciliables, comme l’institution, nécessaire pour pouvoir survivre à la violence, d’une Constitution qu’on appelle le Nouveau Testament, un pacte écrit dont la beauté ne résiste finalement à la loi de tout ce qui est soumis au temps… la dégradation et la mort ? C’est peut-être cette incompréhension du monde scientifique face aux vraies origines de l’Église, cette cécité des chrétiens eux-mêmes vis-à-vis de la mémoire vivante et spirituelle de l’histoire profonde du christianisme, qui constituent le secret des dernières béatitudes, celles qui parlent de la persécution, la calomnie, le déni de croire. Mais ici résonne avec force l’invitation de Jésus : réjouissez-vous dans l’allégresse, parce que vous serez les successeurs de la génération des prophètes fidèles intérieurement à la Parole divine, tous ceux qui ont été massacrés dans l’histoire pour participer à la passion du Messie ! Et l’histoire se transformera en joie et exultation du Royaume par la souffrance de ces justes et l’amour des petits.
Oui, l’énoncé des « Béatitudes » révèle précisément une autre origine : Jésus est le Messie, Fils de Dieu incarné, fondateur du noyau vivant des disciples-apôtres. Nous pouvons y voir l’acte de conception de la Quéhila, avant sa naissance à la Pentecôte ! Les Béatitudes nous enseignent, non pas à imaginer en projetant nos désirs, mais à concevoir et à toucher de nos mains la possibilité d’une origine humaine vraiment belle et sainte, tout au milieu de notre histoire de violence. Y a-t-il, dans cette création souillée par le péché et la tristesse, un lieu humain qui ne soit pas affecté par les conflits mimétiques, une conception immaculée de la nature humaine ? Si on le trouvait, on aurait devant les yeux une origine sainte, ontologiquement belle et pacifiée, un lieu de vrai bonheur et une espérance sereine, une naissance à l’innocence. « Heureux ceux qui font la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. » Le lieu de l’origine et de la conception de l’Église est le sein virginal de Marie, qui a été à juste titre proclamée « Mère de l’Église », c’est-à-dire, elle est le sein humain de la conception de l’Église et le lieu de son origine, comme elle est le sein d’où jaillit le Verbe divin dans son incarnation. Et tout ce qui naît de Marie est saint et « heureux », et vient au monde marqué par la béatitude de Celle que « toutes les générations appelleront bienheureuse » (Lc 1, 48). Marie est Mère et origine humaine de l’Église parce qu’elle est la Femme des béatitudes, l’écho parfait de la Félicité de son Fils et Dieu. Elle est la Mère de notre authentique bonheur, qui est dans l’Église sainte. Et l’Église n’est pas notre honte, elle est notre « joie éternelle », comme aimait à le dire, dans le Paris de l’exil d’après la révolution de 1917, le théologien russe Serge Boulgakov, cette joie que rien et personne ne pourra nous enlever.
Certes, le bonheur que nous ne nous lassons pas de rechercher avec ténacité au plus profond de nos désirs et de nos calculs s’échappe de nos mains comme de l’eau que l’on voudrait tenir dans un poing. Il faut plonger dans l’eau, nus comme dans notre baptême, ou « pauvres en esprit », comme dans la première béatitude, pour trouver que c’est nous qui sommes recherchés, sauvés dans la Bonté. Et voici que nous retrouvons le bonheur dans la Bonté-Beauté, au moment même où, oublieux de nous-mêmes, nous nous abandonnons à une autre sagesse, à la connaissance spirituelle qui est le fruit d’une profonde transformation intérieure.

Bienheureux ceux qui écoutent, parce qu’ils vivront dans le présent la Joie éternelle !


P. Francisco José López Sáez
Professeur de théologie et spiritualité de l’Orient chrétien
à l’Université ecclésiastique San Dámaso de Madrid,
et d’ecclésiologie et philosophie de la religion
au Séminaire du Diocèse de Ciudad Real, Espagne

Théorie déductive de la physique des particules

La physique contemporaine s’est construite pas à pas, d’expériences en modèles mathématiques. Son expression dépend donc des principes mathématiques en cours et particulièrement de la logique.
C’est là qu’il fallait faire porter l’effort en se posant la question de savoir si la « Nature » obéit dans tous ces aspects à la logique binaire ou si celle-ci, bien adaptée à l’expérience immédiate du monde observable, est en fait insuffisante. C’est ce qu’on soupçonne en considérant les paradoxes de la physique quantique.
Il fallait une logique plus puissante, englobant la logique ordinaire comme un cas particulier, pour pouvoir penser un principe dont on pourrait déduire que la matière existe à l’état de particules et décrire avec exactitude ses propriétés fondamentales.

Les auteurs de cet ouvrage utilisent la logique quaternaire qu’ils ont décrite dans un ouvrage précédent (Fondements logiques de la physique) et qu’ils mettent en œuvre pour en déduire l’existence et la diversité structurelle des particules et en retrouver les propriétés découvertes expérimentalement (charge, masse et spin).
Ils ouvrent ainsi un nouveau champ d’exploration pour les théoriciens et les expérimentateurs, en offrant une solution logique au problème de l’énergie et de la masse « noires » ou même au problème crucial de la disruption dans les appareils de fusion atomique.

La structure cachée du réel

L’ouvrage est le résultat d’un travail de recherche de neuf années concernant les liens structurels entre la métaphysique, la physique et la théologie chrétienne. Il met en évidence l’existence d’une structure universelle. L’encyclique « Fides et Ratio » du pape Jean-Paul II a lancé un grand défi à la pensée contemporaine en disant que la foi éclaire la raison et que la raison conforte la foi. Nous relevons ce défi et c’est la première fois dans l’histoire des sciences et de la théologie que la description de la réalité physique se déduit de la métaphysique et que la même métaphysique permet d’exprimer rationnellement les grands dogmes qui structurent la foi chrétienne : Trinité, Création, Incarnation. Pour aboutir à cette unification épistémologique, il a fallu concevoir une nouvelle métaphysique, celle de la « Relation » assortie d’une logique quaternaire, à la place de la métaphysique de la « Substance » et de la logique binaire héritées d’Aristote.

Il en résulte un nouveau paradigme dont l’ouvrage donne les fondements et montre l’efficacité jusque dans les aspects techniques de la physique des particules et des atomes. Les concepts de la physique prennent un sens inattendu et même la notion de vie apparaît sous un jour nouveau propre à éclairer aussi bien la théologie que la biologie. Ces résultats étonnants viennent de la puissance du modèle métaphysique quaternaire qui rend possible ce que les modèles connus jusqu’à présent excluaient comme impensable.

L’arbre des archétypes

Les lettres de l’alphabet hébreu comme figures et nombres

L’arbre des archétypes montre la signification des lettres de l’alphabet hébreu, qui semble être un système de signes conduisant à une connaissance profonde de l’anthropologie, étudié ici à travers le psaume alphabétique 145.

Ces lettres ont été créées, avant leur écriture carrée venant de Babylonie, à partir de l’idée hiéroglyphique importée d’Égypte : chaque lettre-syllabe désigne d’abord un objet et cet objet représente analogiquement une idée.

Les lettres se suivent dans l’alphabet selon un ordre invariable qui permet de compter mais qui dévoile aussi un enseignement sur les représentations archétypales dont nous nous servons pour penser le monde.


L’arrangement parfois étrange des « images archétypales » qu’on trouve dans la Bible témoigne de son origine « révélée ».

La figure de la Ménorah, arbre portant la lumière à partir des lettres, prend tout son sens lorsqu’on voit que les lettres sont organisées selon un ordre numérique très précis.

Jean-François Froger explore l’anthropologie biblique depuis une quarantaine d’années.

Bernadette Main, artiste plasticienne, a réalisé une œuvre originale pour cet ouvrage.

Jean-François Froger, parfois avec un co-auteur, produit des essais anthropologiques et théologiques montrant le renouvellement possible d’une pensée reconnaissant sa source d’inspiration.

Saint Joseph

Image du Père

Jusqu’à la fin du Moyen Âge, saint Joseph n’était honoré d’aucune fête spécifique, d’aucun culte particulier ni de dévotion publique connue. Pourtant, il reçut de Dieu une mission exceptionnelle : être l’époux de la Vierge Marie en gardant la vertu de chasteté et devenir par là même le père adoptif de celui qui devait se révéler le Messie, Fils de Dieu, Jésus.
Or, dans toute famille humaine, le père tient ultimement sa paternité de Dieu qui se fait connaître comme « Père ».
L’Église est un Corps institué par le Christ où la doctrine et les dévotions s’explicitent au fil des siècles. Au début de l’époque moderne, saint Joseph sort de l’effacement où il semble avoir été tenu par la dévotion, malgré son rôle d’époux et de père, souligné dans les Évangiles, et reçoit alors l’hommage d’un culte spécifique. L’Église propose à l’attention des fidèles le saint qui, par excellence, montre une paternité reçue de Dieu.

Saint Joseph est aussi l’aboutissement de toute une lignée généalogique, révélatrice de cette véritable paternité, issue de l’Ancien Testament à travers le patriarche Jacob, son fils Joseph mais aussi d’une lignée de « figures » comme Moïse et David. Par ailleurs, l’Église propose la méditation sur plusieurs autres vertus du saint : modèle des travailleurs, patron de la bonne mort, patron de l’Église universelle, etc.
Rôles et vertus admirablement illustrés par des artistes qui ont mis leur art au service de la foi et qui ont ainsi largement contribué à faire connaître et aimer saint Joseph.

L’iconographie exceptionnelle de Jean-Paul Dumontier complète les approches historiques de Jean-Michel Sanchez, docteur en histoire de l’art et spécialiste de l’art sacré, et la contribution anthropologique que Jean-François Froger apporte en relisant les textes de l’Écriture Sainte concernant la différence féminin-masculin, révélatrice de la spécificité humaine de la « paternité » dans l’union en « une seule chair ».

Jean-François Froger, parfois avec un co-auteur, produit des essais anthropologiques et théologiques montrant le renouvellement possible d’une pensée reconnaissant sa source d’inspiration.

Le Règlement intérieur

Règlement intérieur de l’association
Jardin d’humanité
Adopté par l’assemblée générale du 20 septembre 2022

Article 1 – Agrément des nouveaux membres.
Tout nouveau membre est d’abord membre sympathisant pendant un an, préalablement à son agrément comme membre actif. Il est agréé (ou non) ensuite par le conseil statuant à la majorité de tous ses membres. Le conseil statue lors de chacune de ses réunions sur les demandes d’admission présentées. Les personnes désirant adhérer doivent remplir un bulletin d’adhésion.
Le bulletin d’adhésion d’un membre peut être envoyé par courrier électronique. Les données personnelles figurent uniquement dans le fichier des membres de l’association et ne seront utilisées que pour les communications internes dans l’association.

Article 2 – Cotisations.
Pour la première année de l’association : la cotisation d’un membre actif est fixée à 10 € et pour un membre bienfaiteur un droit d’entrée de 50 € et une cotisation de 20 €,
La cotisation versée à l’association est définitivement acquise.
La cotisation est versée pour l’année civile, renouvellement à faire au 01/01.
La cotisation versée entre le 15 novembre et le 31 décembre compte pour l’année suivante.

Article 3 – Démission – Exclusion – Décès d’un membre
1. La démission doit être adressée au président du conseil par lettre recommandée. Elle n’a pas à être motivée par le membre démissionnaire.
2. Comme indiqué à l’article « 8 » des statuts, l’exclusion (radiation) d’un membre peut être prononcée par le conseil, pour motif grave. Sont notamment réputés constituer des motifs graves :
– une condamnation pénale pour crime et délit ;
– toute action de nature à porter préjudice, directement ou indirectement, aux activités de l’association ou à sa réputation ;
Préalablement à la décision d’exclusion, l’intéressé peut présenter sa défense. La décision d’exclusion est adoptée par le conseil statuant à la majorité des deux tiers des membres présents.
3. En cas de décès d’un membre, les héritiers ou les légataires ne peuvent prétendre à un quelconque maintien dans l’association.
La cotisation versée à l’association est définitivement acquise, même cas en cas de démission, d’exclusion, ou de décès d’un membre en cours d’année.

Article 4 – Assemblées générales – Modalités applicables aux votes
L’assemblée peut être convoquée par courrier électronique (à l’adresse mail donnée par les membres de l’association lors de leur inscription ou lors d’une mise à jour dument notifiée à la secrétaire de l’association).
Elle peut se dérouler en présentiel ou en visioconférence.
Les membres actifs ou bienfaiteurs présents votent à main levée. Toutefois, un scrutin secret peut être demandé par le conseil ou par un quart des membres présents. Comme indiqué à l’article «10 » des statuts, si un membre de l’association ne peut assister à une assemblée, il peut s’y faire représenter en donnant procuration à un mandataire qui sera obligatoirement membre actif ou bienfaiteur de l’association.
Pour proposer sa candidature comme membre du conseil, il faut être membre actif ou bienfaiteur, et le signaler par courrier (écrit ou par mail) quinze jours avant l’assemblée. Toutefois, pour assurer la continuité de la gestion de l’association, le renouvellement du conseil ne pourra excéder quatre nouveaux élus, de sorte que les quatre anciens membres élus ayant obtenu le plus de voix soient reconduits dans leur fonction.

Article 5– Indemnités de remboursement.
Seuls les administrateurs et membres élus du bureau, peuvent prétendre au remboursement des frais engagés dans le cadre de leurs fonctions et sur justifications.

Article 6– Commission de travail.
Des commissions de travail peuvent être constituées par décision du conseil d’administration.

Article 7 – Modification du règlement intérieur
Le présent règlement intérieur pourra être modifié par l’assemblée générale ordinaire à la majorité simple des membres.

« Fait à Paris, le 20 septembre 2022 »

Les Statuts

Article PREMIER – NOM : « Le Jardin d’Humanité »
Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre : « Le Jardin d’Humanité »

Article 2 – BUT OBJET :
Cette association a pour objet la diffusion et la transmission des enseignements de Jean-François Froger. L’association utilisera tous les moyens à sa disposition afin de faire connaître à un public le plus large possible, les apports de Jean-François Froger à :
l’anthropologie, la logique, la connaissance de la Bible et la vie spirituelle.
Pour ce faire, l’association organisera des colloques, des publications et des sessions pour la diffusion de l’enseignement de Jean-François Froger.
L’association est l’administratrice du site internet :
Les amis de Jean-François FROGER | Jardin d’humanité
(https://enseignement-froger.fr)

Article 3 – SIÈGE SOCIAL
Le siège social est fixé chez Mr Chassagne à : Lieu dit Lugaud 1,
33720 Saint Michel de Rieufret.
Il pourra être transféré par simple décision du conseil d’administration

Article 4 – DUREE
La durée de l’association est illimitée.

Article 5 – COMPOSITION
L’association se compose de :
a) Membres d’honneur
b) Membres bienfaiteurs
c) Membres actifs (ou adhérents)
d) Membres sympathisants

Article 6 – ADMISSION
Les modalités d’admission des membres figurent dans le règlement intérieur

Article 7 – MEMBRES – COTISATIONS
Sont membres sympathisants ceux qui se sont signalés à l’association par un bulletin de
demande d’adhésion, ils ne cotisent pas, ne participent pas aux assemblées et ne votent pas.
Sont membres actifs ceux qui ont été agréés par le conseil d’administration et qui versent une cotisation annuelle, cotisation fixée chaque année par l’assemblée générale.
Sont membres bienfaiteurs, ceux qui ont été agréés par le conseil d’administration, qui versent un droit d’entrée et une cotisation annuelle, cotisation fixée chaque année par l’assemblée générale.
Sont membres d’honneur (désignés par le conseil d’administration), ceux qui ont rendu des services signalés à l’association, ils sont dispensés de cotisations.
Tous les membres peuvent participer à toutes les activités de l’association.
Les modalités de règlement de la cotisation figurent dans le règlement intérieur.

Article 8 – RADIATIONS
La qualité de membre se perd par la démission, le décès, la radiation prononcée par le conseil d’administration dont les modalités figurent dans le règlement intérieur.

Article 9 – RESSOURCES
Les ressources de l’association comprennent :
Le montant des droits d’entrée et des cotisations ;
Toutes les ressources autorisées par les lois et règlements en vigueur ;
Les subventions de l’Etat, des départements et des communes.

Article 10 – ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE
L’assemblée générale ordinaire comprend les membres de l’association : actifs, bienfaiteurs, ou membres d’honneur.
Elle se réunit chaque année en présentiel ou par visioconférence.
Quinze jours au moins avant la date fixée, les membres de l’association sont convoqués par les soins du secrétaire, la convocation pourra être faite par envoi de courrier électronique.
L’ordre du jour figure sur la convocation.
Le président, assisté des membres du conseil, préside l’assemblée et expose la situation
morale et l’activité de l’association.
Le trésorier rend compte de sa gestion et soumet les comptes annuels à l’approbation de
l’assemblée.
L’assemblée générale fixe annuellement le montant des cotisations et du droit d’entrée à
verser par les différentes catégories de membres.
Ne peuvent être abordés que les points inscrits à l’ordre du jour.
Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés..
Il est procédé, après épuisement de l’ordre du jour, au renouvellement des membres sortants du conseil, s’il y a lieu. Les modalités de renouvellement des membres du conseil figurent dans le règlement intérieur.
Toutes les délibérations sont prises à main levée.
Les décisions des assemblées générales s’imposent à tous les membres, y compris absents ou représentés.

Article 11 – ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE
Si besoin est, ou sur la demande de la moitié plus un des membres (sauf membres
sympathisants), le président peut convoquer une assemblée générale extraordinaire, suivant les modalités prévues aux présents statuts et uniquement pour modification des statuts ou la dissolution.
Les modalités de convocation sont les mêmes que pour l’assemblée générale ordinaire.
Les délibérations sont prises à la majorité des suffrages exprimés.

Article 12 – CONSEIL D’ADMINISTRATION
L’association est dirigée par un conseil de 8 membres, élus pour 3 années par l’assemblée
générale. Les membres sont rééligibles.
Le renouvellement est prévu en assemblée générale par un vote. Les modalités de
renouvellement des membres du conseil figurent dans le règlement intérieur.
En cas de vacance d’un membre, le conseil pourvoit à son remplacement par une nomination provisoire. Son remplacement définitif est obtenu par ratification de la nomination ou élection d’un autre candidat par la plus prochaine assemblée générale.
En cas d’empêchement du président, les autres membres du bureau désignent celui qui
représentera l’association.
Le président de l’association représente l’association.
Le conseil d’administration se réunit au moins une fois par an, en présentiel ou par
visioconférence, sur convocation du président, ou à la demande du quart de ses membres. .
Les décisions sont prises à la majorité des voix, en cas de partage, la voix du président est
prépondérante.

Le conseil d’administration élit parmi ses membres, un bureau composé de :
1) Un (ou une) président ;
2) Un (ou une) vice-président ;
3) Un (ou une) secrétaire ;
4) Un (ou une) trésorier.

Article 14 – INDEMNITES
Toutes les fonctions, y compris celles des membres du conseil d’administration et du bureau, sont gratuites et bénévoles. Seuls les frais occasionnés par l’accomplissement de leur mandat sont remboursés sur justificatifs. Le rapport financier présenté à l’assemblée générale ordinaire présente, par bénéficiaire, les remboursements de frais de mission, de déplacement ou de représentation.

Article – 15 – REGLEMENT INTERIEUR
Un règlement intérieur est établi par le conseil d’administration, qui le fait alors approuver par l’assemblée générale.
Ce règlement éventuel est destiné à fixer les divers points non prévus par les présents statuts, notamment ceux qui ont trait à l’administration interne de l’association.

Article – 16 – DISSOLUTION
En cas de dissolution prononcée selon les modalités prévues à l’article 11, un ou plusieurs
liquidateurs sont nommés, et l’actif net, s’il y a lieu, est dévolu à un organisme ayant un but non lucratif ou à une association ayant des buts similaires, conformément aux décisions de
l’assemblée générale extraordinaire qui statue sur la dissolution. L’actif net ne peut être
dévolu à un membre de l’association, même partiellement, sauf reprise d’un apport.

Article – 17 – LIBERALITES
Le rapport et les comptes annuels, tels que définis à l’article 9 sont adressés chaque année au Préfet du département.
L’association s’engage à présenter ses registres et pièces de comptabilité sur toute réquisition des autorités administratives en ce qui concerne l’emploi des libéralités qu’elle serait
autorisée à recevoir, à laisser visiter ses établissements par les représentants de ces autorités compétents et à leur rendre compte du fonctionnement desdits établissements.


« Fait à Paris, le 20 septembre 2022 »

Les racines du dimanche

Dans cette série d’émissions, diffusées en 2010 2011, Jean-François explique l’origine du shabbat, et comment, pour les chrétiens, il s’est transformé (réalisé ?) en dimanche.

1 – Les racines du dimanche
2 – Les racines du dimanche
3 – Les racines du dimanche
4 – Les racines du dimanche
5 – Les racines du dimanche
6 – Les racines du dimanche
7 – Les racines du dimanche
8 – Les racines du dimanche
9 – Les racines du dimanche
10 – Les racines du dimanche
11 – Les racines du dimanche

Les paraboles du Royaume

Diffusées sur deux saisons, 2008 2009 et 2009 2010, ces vingt émissions expliquent en profondeur l’essence de l’enseignement du Christ transmis en paraboles. Passionnant !

1 – Qu’est-ce qu’un collier évangélique ?
2 – Qu’est-ce que les paraboles ?
3 – La perle d’ouverture
4 – Le neuf et le vieux
5 – L’outre et le vêtement
6 – La parabole du roc et du sable
7 – La parabole des gamins sur la place

8 – La parabole du semeur
9 – Le cycle de la graine
10 – Le secret de Dieu
11 – La lecture de l’Écriture Sainte
12 – La lampe et la mesure
13 – La semence qui croît
14 – La parabole de l’ivraie
15 – Explication de la parabole de l’ivraie
16 – Le grain de sénevé
17 – La parabole du levain
18 – Le trésor et la perle
19 – La parabole du filet
20 – Les paraboles – Récapitulation